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17 février 2025Justice et Droit de l’homme
Engageons-nous pour une justice équitable et le respect des droits humains !
La Commission Justice et Droits de l’Homme vous invite à partager vos idées pour renforcer l’État de droit, l’accès à la justice et la protection des libertés fondamentales.
💬 Quels sont, selon vous, les défis prioritaires et les solutions possibles ?
✍️ Laissez votre proposition en commentaire et contribuez à un avenir plus juste et respectueux des droits humains !
1567 Commentaires
Mes propositions sont les suivantes
en terme de Justice :
* La peine de mort à toute nigérienne qui tue Une autre nigérienne de son plein gré
* 10 ans de prison à Celui qui à essayer de tue quelqu’un , si la victime arrive à être secourir.
* La peine de mort à tout celui ( sans exception) qui vole les biens de l’État
Seul la loi islamique qui va marcher dans ce pays à 98% des musulmans pour se débarrasser de l’injustice, le pillage de deniers publics.
Vivement !!!
Quelques défis prioritaires dans le domaine de la justice au Niger :
1. Indépendance de la justice
Ingérence politique: Les nominations et les décisions judiciaires sont parfois influencées par le pouvoir politique, ce qui mine l’impartialité et l’intégrité du système judiciaire.
Corruption: La corruption est un problème majeur au sein du système judiciaire, affectant les juges, les avocats et les autres acteurs. Elle entraîne des décisions injustes et un manque de confiance dans le système.
Manque de ressources: Le manque de ressources financières et humaines limite la capacité du système judiciaire à fonctionner efficacement et à garantir l’accès à la justice pour tous.
2. Accès à la justice
Distance géographique: De nombreuses communautés, en particulier dans les zones rurales, sont éloignées des tribunaux et des services juridiques, ce qui rend l’accès à la justice difficile et coûteux.
Barrières financières: Les frais de justice, les honoraires d’avocats et les autres dépenses liées aux procédures judiciaires peuvent être prohibitifs pour de nombreuses personnes, en particulier les plus pauvres.
Manque d’information: Beaucoup de personnes ne connaissent pas leurs droits et les procédures à suivre pour saisir la justice, ce qui les empêche de faire valoir leurs droits.
3. Efficacité du système judiciaire
Lenteur des procédures: Les procédures judiciaires sont souvent longues et complexes, ce qui entraîne des retards et un engorgement des tribunaux.
Manque de personnel qualifié: Le manque de juges, d’avocats et d’autres professionnels de la justice qualifiés et expérimentés nuit à la qualité des décisions et à l’efficacité du système.
Infrastructures inadéquates: De nombreux tribunaux manquent d’infrastructures adéquates, ce qui rend difficile le travail des juges et des autres acteurs de la justice.
4. Droits humains
Violences basées sur le genre: Les violences basées sur le genre, telles que les violences conjugales, les mariages forcés, sont un problème majeur au Niger. Le système judiciaire doit être renforcé pour garantir que les auteurs de ces crimes soient traduits en justice et que les victimes reçoivent un soutien adéquat.
Discrimination: Certaines communautés, en particulier les minorités ethniques et religieuses, sont victimes de discrimination dans l’accès à la justice et dans l’application de la loi.
Détention préventive prolongée: La détention préventive prolongée est un problème courant au Niger, avec des personnes détenues pendant des périodes excessives sans avoir été jugées.
5. Justice traditionnelle
Articulation avec la justice formelle: Il est important de trouver des moyens de mieux articuler la justice traditionnelle avec la justice formelle, en tenant compte des spécificités culturelles et locales, tout en garantissant le respect des droits humains.
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Voici quelques solutions potentielles :
1. Renforcer l’indépendance de la justice
Réformes institutionnelles: Mettre en place des mécanismes transparents et objectifs pour les nominations et les promotions des juges, afin de réduire l’influence politique.
Lutte contre la corruption: Renforcer les mécanismes de contrôle et de sanctions pour lutter contre la corruption au sein du système judiciaire.
Augmentation des ressources: Allouer davantage de ressources financières et humaines au système judiciaire pour améliorer son fonctionnement et sa capacité.
2. Améliorer l’accès à la justice
Décentralisation des services: Rendre les services judiciaires plus accessibles dans les zones rurales en construisant des tribunaux et en déployant des avocats et des assistants juridiques.
Aide juridique: Mettre en place des programmes d’aide juridique pour les personnes les plus vulnérables, afin de leur permettre de faire valoir leurs droits.
Sensibilisation: Mener des campagnes de sensibilisation pour informer les populations sur leurs droits et les procédures à suivre pour saisir la justice.
3. Améliorer l’efficacité du système judiciaire
Réformes procédurales: Simplifier les procédures judiciaires et réduire les délais de traitement des affaires.
Formation: Renforcer la formation des juges, des avocats et des autres professionnels de la justice pour améliorer leurs compétences et leur efficacité.
Modernisation: Utiliser les technologies de l’information et de la communication pour moderniser le système judiciaire et améliorer son efficacité.
4. Promouvoir les droits humains
Lutte contre les violences basées sur le genre: Renforcer les lois et les mécanismes de protection pour lutter contre les violences basées sur le genre et assurer la prise en charge des victimes.
Lutte contre la discrimination: Adopter des lois et des politiques pour lutter contre la discrimination et garantir l’égalité d’accès à la justice pour tous.
Réduction de la détention préventive: Limiter le recours à la détention préventive et garantir le droit à un procès équitable dans un délai raisonnable.
5. Intégrer la justice traditionnelle
Dialogue: Engager un dialogue avec les chefs traditionnels et les acteurs de la justice traditionnelle pour identifier les meilleures pratiques et les mécanismes de collaboration.
Formation: Former les acteurs de la justice traditionnelle aux droits humains et aux principes de l’état de droit.
Articulation: Mettre en place des mécanismes pour articuler la justice traditionnelle avec la justice formelle, en tenant compte des spécificités culturelles et locales.
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Note: je vois d’autres commentaires qui suggerent la Sharia Islamic. Please, retenez que le Niger est un pays laic et de ce fait l’on doit tenir compte de toute les foi et meme de ceux qui choisissent de ne pratiquer aucune religion.
Permettez-moi tout d’abord d’apporter ma modeste contribution : au Niger, l’esclavage persiste bien que proscrit par la loi. Il se perpétue pour des raisons économiques et culturelles. Pour y voir clair, nous avons décidé de briser le silence en consacrant une œuvre littéraire à ce sujet. Notre livre va à l’encontre des intérêts de ceux qui veulent continuer à vivre comme au moyen âge. Le caractère complexe d’un tel fléau et la nécessité d’écrire sur ce que nous avons vécu dans notre famille ont fait que nous n’avons pas hésité à faire face à toute adversité. Laissez-moi vous dire que, l’idéologie qui justifie l’esclavage depuis des dizaines d’années, n’est pas encore éteinte dans nos us et coutumes. Il existe deux types de pratiques esclavagistes : la pratique active qui sévit dans la partie septentrionale et centrale et un rite passif que l’on rencontre dans les régions du fleuve (Dosso, Niamey, Tillabéry), mais aussi dans la région de Diffa. Sous la forme passive, les esclaves ne sont pas sous l’autorité du maître. Ils exploitent les champs des nobles, seuls détenteurs des terres. En contrepartie, ils leur versent une partie de leur récolte. Dans l’ouest du Niger, même les hommes de métiers (tisserands, cordonniers, bouchers, forgerons, artistes traditionnels) sont considérés comme des personnes de basse classe « Bagna ». Un noble ne peut pas se marier dans certaines familles pour ne pas mélanger son sang à celui d’une esclave. Sous la forme active, pratiquée dans les régions de Tahoua, Agadez, nord Maradi, nord Zinder et dans les zones nomades, les esclaves vivent dans la maison du maître qui prend en charge leurs besoins alimentaires et vestimentaires. En retour, ils s’occupent des travaux domestiques et champêtres. Les esclaves sont assimilés à la famille et, leurs filles peuvent être vendues pour servir de cinquième épouse (Wahaya). Les maîtres peuvent donner en mariage des jeunes femmes esclaves comme épouses à d’autres maîtres, opérateurs économiques, Chefs Traditionnels ou Chefs religieux, moyennant le paiement d’un affranchissement « Honsa ». Tout se déroule sans le consentement préalable de la jeune mariée et se déroule souvent à l’insu de ses parents. Les femmes jouent un rôle de procréation. Cette situation expose les victimes à la marginalisation et les privent de l’accès à certaines responsabilités. En général, les esclaves travaillent en longueur de journée dans les corvées familiales. S’ils n’obéissent pas, ils s’exposent d’office à la fureur du maître. Désobéir à son maître équivaut à une insubordination au pouvoir spirituel et divin. Les esclaves, hommes et femmes subissent le mépris, l’humiliation, la ségrégation et l’exclusion dans les évènements sociaux. Leur travail, consiste à tirer quotidiennement l’eau du puits, ramasser du bois sec, faire la cuisine, laver les vêtements, faire le ménage, s’occuper des enfants… Les jeunes filles sont souvent violées et leurs enfants considérés comme la propriété du maître. Ils peuvent être prêtés pour effectuer des travaux champêtres ou offerts en cadeau de mariage aux enfants du maître. Ces pratiques sont devenues un phénomène observable sur toute l’étendue du territoire, tant en milieu urbain que rural et cela à l’occasion des cérémonies religieuses et traditionnelles. En outre, beaucoup d’entre eux ne connaissent ni leurs origines, ni leurs grands-parents, encore moins leurs cultures et sont constamment habités par la peur et la hantise de s’exposer à la violence du maître. Leur vie est réduite à promouvoir l’épanouissement matériel du maître, guettant le moindre geste pour le servir. Malgré la sévérité du phénomène, certaines victimes se plaisent dans ce système et cherchent des occasions pour exhiber leur état de servitude. C’est pour toutes ces raisons que notre combat ambitionne d’aider la jeunesse à comprendre que cette situation est inadmissible à notre époque. La Commission doit impérativement se pencher sur cette situation.
L’es nigérien qui sont victimes au niveau des différents concours pendant le régime déchu attend de la justice la réparation de leurs préjudice. Recommandations : dorénavant les copies de concours doivent être expédiés dans l’un de pays de l’AES pour éviter les favoritisme et a la fin de correction les résultats seront balancer sur un site internet
Pour cette assise, la loi Islamic doit être appliquée dans tous les secteurs pour quon puisse avoir la paix .
Ce que moi j pense vraiment est que le président de la justice doit nécessairement avoir un contrôle total sur ses Administrés et il doit aussi veillé a l’exécution des sanctions pénal et civil…la justice doit ignoré et chasser tous les agent de mauvais fois qui n’est sont pas a la justice pour combattrez l’injustice mais plus pour leur intérêt…
Appliquons la charia comme base de justice.Allah est juste et la charia emane de lui.Personne ne sera lésé tant que la charia bien appliquée.C’est une occasion en or de se décoloniser spirituellement aussi,car nous sommes 90% de musulmans au Niger qui sont contraints à une justice dont les textes sont rédigés par des athées. C’est aussi une opportunité de départir de la France qui doit regretter d’avoir été cupide à l’égard des nigériens qu’elle a marginalisé et appauvri durant des décennies.
Mes prépositions sont :
Que l’islam soit l 1ere dans nôtre pays
La justice transparente
La sécurité aussi
L’éducation
Sur le plan économique
Soit tout les ressources minières soit pour le Niger , c’est à dire, tout les usines soit pour le Niger , aucun pays n’as le droit de créer une une usine au Niger , tout soit au Niger
Sur le plan de sécurité
Niger as besoin de l’armée au-moins plus de 10millions de FdS sa va mettre fin o insecuritié , chaque maison a besoin d’un millitaire,
Sur le plan politique
Transition soit , 3ans au total , avec 19mois passer.
Le pouvoir soit 10ans 10ans
Es la partie politique doit être 2parties un parti au pouvoir es un opposant
Sur le plan de l’éducation
Les universités as besoin des filières moderne comme : computer science, Petro chimie, sciences etc ..
On doit vérifier les mauvais enseignants au l’université , pour les chassé car beaucoup des enseignants sont à la base de refus des étudiants, ,
Es augmenter l’âge, de brousse et Aides social,
Augmenter l’âge des FdS moins de 35ans
bonjour
Nous insistons qu’i faille voir et revoir le niveau du personnel chargé dans les ministères, les sociétés d’Etat et les Agences, qui est chargé de rédiger les arrêtes recommandés par les décrets. Qu’ils soient sincères pour dire le contenu des textes règlementaires aux ministres et aux directeurs.
il faut qu’ils soient assermentés.
il arrive aussi qu’un directeur d’une agence ou d’une sociétés d’Etat rédige un arrête à son gout, taillé sur mesure et le faire signer par un ministre sans que même que cet arrêté soit passé chez le SG ou chez le DL. tout cela passe par la corruption; ces directeurs ont leur budgets et sont les ordonnateurs, ils proposent aux autorités à volonté.
quand aux résolutions ou d’autres textes approuvés par leur conseil d’administration sont souvent ridicules et ne respectent aucun texte règlementaire.
ces ordonnateurs nomment des intérims à des postes de responsabilité pendant des années, cela est une violation des textes règlementaires et les ministères auxquels ils sont rattachés ne disent rien, ils ont l’argent.
nous pensons la seule solution est de retirer le pouvoir d’ordonnateur aux directeurs de sociétés d’Etat, et des Agences.
Alabe Adam cadre du Ministère des Transports et de l’Equipement matricule 64994/C
La Refondation c’est la Justice
Il faut un contrepoids qui peut d’une manière ou d’une autre contrôler et dénoncer les injustices et les abus.
On doit prévoir une loi qui donne droit et force aux acteurs de la société civile ( choisis selon des critères) de contrôler, d’ avoir accès aux données, et de traduire en justice les cas d’injustices ou d’abus.
Le magistrat est justiciable comme tout autre citoyen.
Ces acteurs et leur représentants à l’intérieur du pays doivent être un moyen de recours pour les citoyens au besoin.
On doit également démystifier le statut de magistrat pour arrêter les abus en limitant fortement leur fameux « outrage au magistrat ».
Le magistrat est un fonctionnaire de l’état payé pour ces services qu’il doit rendre conformément aux textes sans position subjective.
Le statut de magistrat ne doit pas être trimballé au delà du service dans la vie courante au risque d’incarner une intimidation dans la société.
On est limité dans les dénonciations parce que il n’y a pas de recours fiable
L’enseignent manque à ses engagements car il sait qu’on n’obtient aucun moyen rapide de le contraindre face à ses manquements
L’ agent de santé continue d’ insulter, maltraiter, mettre la vie des malades en danger parce que nous ne disposons pas de pouvoir de faire justice réellement
Les femmes sont mal traitées, stressées dans les maternités pour manque de justice
– Aucune déclaration
– Aucun message à la nation
– Aucun appel de citoyenneté ou de nationalisme
Ne parvient à nous garantir une justice sociale équitable, prompte et sans abus.
Seule la sanction peut contraindre l ‘Homme à la raison
Oui Il faut un groupe de pression de plein pouvoir pour contrôler l’appareil de justice
et ce groupe c’est les acteurs de la société civile
Donnez leur ce pouvoir
– pour que » le pouvoir arrête le pouvoir en cas d’abus »
– Pour que le chasseur ne devient plus le gibier dans ce pays
– pour que le provocateur arrête sa provocation
– Pour que le plus fort ne piétine pas les faibles
– pour que l’administration fonctionne convenablement
– pour qu’on n’ait plus peur d’aller à l’hôpital et au centre de santé
– pour que les femmes accouchent dans la dignité sans stress
– Pour qu’on ne soit plus obligé de corrompre pour avoir nos droits
– pour pour et pour…que le développement soit une réalité
La Justice est un appareil d’équilibre social et non un privilège financier, abusif ou d’intimidation d’un groupuscule.
Oui pour une justice prompte et équitable
Habiboulaye SADOU
Président de l’ AJPDD Ciigaba