
Géopolitique et Environnement international
14 février 2025Album photo de la cérémonie de lancement
17 février 2025Justice et Droit de l’homme
Engageons-nous pour une justice équitable et le respect des droits humains !
La Commission Justice et Droits de l’Homme vous invite à partager vos idées pour renforcer l’État de droit, l’accès à la justice et la protection des libertés fondamentales.
💬 Quels sont, selon vous, les défis prioritaires et les solutions possibles ?
✍️ Laissez votre proposition en commentaire et contribuez à un avenir plus juste et respectueux des droits humains !
1567 Commentaires
Merci de nous donner l’occasion, afin d’apporter notre contribution dans le cadre des assises nationales pour la refondation.
Ma contribution se rapporte sur la thématique n°5 : justice et droit de l’homme.
Dans ces conclusions, des propositions et recommandations : justice à été demandée pour bon nombre de Nigériens ( par exemple : concours de douanes, finance, sapeurs pompiers etc.) excepté ces Nigériens mis en chômage du fait de la fermeture de leurs sociétés pour raison de sécurité nationale ( mesure que nous approuvons tous). Cependant, personne n’ a fait cas de leur situation, et le désarroi dans lequel ils végètent.( dislocation des familles, banditisme…).
Nous pensons qu’on ne peut prétendre à un avenir durable et stable dans un pays avec un taux de chômage élevé …
Bref, vous devriez vous penchez sur la question et trouver les solutions pour tous ces nigériens qui ont aussi droit à cette justice sociale.
Cordialement
Proposition des Jeunes Ambassadeurs de paix du Niger, pour la refondation du Niger
1. Gouvernance et Participation Citoyenne
Inclusion des jeunes dans la gouvernance locale et nationale : Création d’un cadre institutionnel favorisant la participation active des jeunes dans les processus décisionnels (quota de jeunes dans les instances locales et nationales, conseils consultatifs).
Lutte contre la corruption et la mauvaise gouvernance : Renforcement des mécanismes de transparence, de redevabilité et de contrôle citoyen avec une implication forte des jeunes.
2. Paix, Sécurité et Cohésion Sociale
Mise en place de Comités Locaux de Paix et de Dialogue pilotés par des jeunes pour prévenir et gérer les conflits communautaires.
Éducation à la paix et à la tolérance dans les écoles et universités pour lutter contre l’extrémisme violent et renforcer la cohésion nationale.
Insertion socio-économique des jeunes vulnérables à travers des programmes de réinsertion et d’accompagnement pour les jeunes exposés aux risques de radicalisation.
3. Éducation et Formation
Réforme du système éducatif pour mieux l’adapter aux besoins du marché du travail et aux défis du pays.
Renforcement des formations techniques et professionnelles pour offrir aux jeunes des opportunités concrètes d’emploi et d’auto-emploi.
Promotion du numérique et de l’entrepreneuriat chez les jeunes à travers des incubateurs et des formations adaptées.
4. Développement Économique et Emploi des Jeunes
Facilitation de l’accès au financement et aux opportunités d’affaires pour les jeunes entrepreneurs à travers des fonds d’investissement dédiés.
Appui à l’agriculture et à l’agro-industrie en développant des pôles agricoles modernes intégrant les jeunes.
Promotion du Made in Niger et du consommer local pour dynamiser l’économie et renforcer la souveraineté économique.
5. Lutte contre la Désinformation et Promotion d’un Internet Sain
Création d’une plateforme nationale de fact-checking pour lutter contre la désinformation et les discours de haine en ligne.
Éducation numérique et sensibilisation aux dangers des fake news dans les écoles et les médias.
Mise en place de campagnes de sensibilisation sur la citoyenneté numérique et la responsabilité en ligne.
6. Environnement et Développement Durable
Renforcement des politiques de lutte contre la désertification et la gestion durable des ressources naturelles avec une participation active des jeunes.
Développement des énergies renouvelables pour promouvoir un Niger plus écologique et autosuffisant en énergie.
Sensibilisation et engagement des jeunes dans des actions de reboisement et de protection de l’environnement.
7. Refondation de l’État et Renforcement de l’Unité Nationale
Organisation d’un dialogue national inclusif et permanent pour garantir l’implication de toutes les composantes de la société, y compris les jeunes, dans la refondation du Niger.
Refonte du contrat social en mettant l’accent sur la justice sociale, l’équité et la solidarité nationale.
Décentralisation renforcée et autonomisation des collectivités locales pour rapprocher l’administration des citoyens et améliorer la gouvernance territoriale.
Révision et modernisation des institutions pour les rendre plus efficaces, inclusives et adaptées aux réalités socio-économiques du pays.
Promotion des valeurs républicaines et de l’identité nationale à travers l’éducation civique, culturelle et historique dès le plus jeune âge.
Cette refondation doit être portée par une vision claire et collective pour un Niger uni, fort et prospère, où chaque citoyen, en particulier la jeunesse, joue un rôle actif dans la construction de l’avenir.
Proposition des Jeunes Ambassadeurs de paix du Niger, pour la refondation du Niger
1. Gouvernance et Participation Citoyenne
Inclusion des jeunes dans la gouvernance locale et nationale : Création d’un cadre institutionnel favorisant la participation active des jeunes dans les processus décisionnels (quota de jeunes dans les instances locales et nationales, conseils consultatifs).
Lutte contre la corruption et la mauvaise gouvernance : Renforcement des mécanismes de transparence, de redevabilité et de contrôle citoyen avec une implication forte des jeunes.
2. Paix, Sécurité et Cohésion Sociale
Mise en place de Comités Locaux de Paix et de Dialogue pilotés par des jeunes pour prévenir et gérer les conflits communautaires.
Éducation à la paix et à la tolérance dans les écoles et universités pour lutter contre l’extrémisme violent et renforcer la cohésion nationale.
Insertion socio-économique des jeunes vulnérables à travers des programmes de réinsertion et d’accompagnement pour les jeunes exposés aux risques de radicalisation.
3. Éducation et Formation
Réforme du système éducatif pour mieux l’adapter aux besoins du marché du travail et aux défis du pays.
Renforcement des formations techniques et professionnelles pour offrir aux jeunes des opportunités concrètes d’emploi et d’auto-emploi.
Promotion du numérique et de l’entrepreneuriat chez les jeunes à travers des incubateurs et des formations adaptées.
4. Développement Économique et Emploi des Jeunes
Facilitation de l’accès au financement et aux opportunités d’affaires pour les jeunes entrepreneurs à travers des fonds d’investissement dédiés.
Appui à l’agriculture et à l’agro-industrie en développant des pôles agricoles modernes intégrant les jeunes.
Promotion du Made in Niger et du consommer local pour dynamiser l’économie et renforcer la souveraineté économique.
5. Lutte contre la Désinformation et Promotion d’un Internet Sain
Création d’une plateforme nationale de fact-checking pour lutter contre la désinformation et les discours de haine en ligne.
Éducation numérique et sensibilisation aux dangers des fake news dans les écoles et les médias.
Mise en place de campagnes de sensibilisation sur la citoyenneté numérique et la responsabilité en ligne.
6. Environnement et Développement Durable
Renforcement des politiques de lutte contre la désertification et la gestion durable des ressources naturelles avec une participation active des jeunes.
Développement des énergies renouvelables pour promouvoir un Niger plus écologique et autosuffisant en énergie.
Sensibilisation et engagement des jeunes dans des actions de reboisement et de protection de l’environnement.
7. Refondation de l’État et Renforcement de l’Unité Nationale
Organisation d’un dialogue national inclusif et permanent pour garantir l’implication de toutes les composantes de la société, y compris les jeunes, dans la refondation du Niger.
Refonte du contrat social en mettant l’accent sur la justice sociale, l’équité et la solidarité nationale.
Décentralisation renforcée et autonomisation des collectivités locales pour rapprocher l’administration des citoyens et améliorer la gouvernance territoriale.
Révision et modernisation des institutions pour les rendre plus efficaces, inclusives et adaptées aux réalités socio-économiques du pays.
Promotion des valeurs républicaines et de l’identité nationale à travers l’éducation civique, culturelle et historique dès le plus jeune âge.
Cette refondation doit être portée par une vision claire et collective pour un Niger uni, fort et prospère, où chaque citoyen, en particulier la jeunesse, joue un rôle actif dans la construction de l’avenir.
Assalamou alaikoum, alhamdu liLLAH et merci pour cette occasion que vous nous offrez afin de s’exprimer sur ce sujet capital de notre pays qui est la refondation.
Voici mes suggestions :
1- justice:
-réduite le temps d’une enquête sur une affaire civile ;
-expliquer les formalités judiciaires aux citoyens;
-encadrer ce terme de »outrage au magistrat » dernière lequel se cachent certains juges pour faire taire toute tentative d’un citoyen tentant de se défendre devant ces juges;
2-justice sociale :
-que l’état cesse de promouvoir l’injustice sociale entre ces agents en octroyant des statuts inégalement rémunérés en adoptant un régime unitaire dans le traitement des indices, indemnités et reclassement ( un conseiller pédagogique du primaire avec son BAC+3 classé A3);
3-refondation de notre système éducatif :
– décréter une obligation d’inscrire ses enfants dans les écoles publiques pour tout détendeur d’un poste de responsabilité de la sommet à la base;
– renforcer la coopération avec les pays arabes pour promouvoir l’enseignement franco-arabe pour que ces écoles puissent bénéficier de la construction des classes, de la dotation en matériels et manuels et de la formation des enseignants ;
– orienter le fonds alloué au ministère de l’éducation vers le suivi , encadrement et formation plutôt que dans les missions, ateliers et formations des agents du ministère ;
– scinder le ministère de l’éducation en trois : primaire, secondaire et formation professionnelle.
4- religion
– respecter la proportion de chaque religion dans la représentation ;
– mettre en place un conseil supérieur des musulmans qui sera une instance de consultation pour l’état sur toute décision afin de s’assurer qu’elle n’allait pas à l’encontre de la religion de la majorité des nigériens.
– promouvoir l’éducation islamique à travers le renforcement des liens avec les universités islamiques et faciliter l’accès aux nigériens.
Merci, qu’ALLAH vous assiste et bénisse notre pays et son peuple .
Amine ya Hayyou ya Qayyoum
Bonsoir chers concitoyens. Dans le cadre de la refondation, notre souhait est de voir tous ceux qui sont dans nos geôles libres, tant que culpabilité n’a pas été démontrée par les services compétents en la matière. Je pense à ceux qui sont arrêtés aux lendemains des élections présidentielles de 2021. Je pense à ceux qui sont arrêtés pour des opinions politiques. Je pense aux défenseurs des droits humains arrêtés injustement dont leur tort est de chercher à mettre les citoyens dans leurs droits. Je pense à ceux accusés de troubles à l’ordre public sans oublier ceux à qui un complot de coup d’État a été attribué. Pour toutes ces personnes dont la culpabilité n’a pas été démontrée, le pardon est devient une baume au coeur. Recevez mes salutations fraternelles.
Tous nos remerciements à vous pour avoir ouvert ce site nous permettant nous aussi de nous exprimer.
En effet le CNSP est le seul conseil qui a eu un soutien qu’aucun conseil au Niger n’a obtenu, et cela c’est parce que la population a été l’objet d’une injustice sans précédent pendant plus de 10 ans.
Alors pour répondre aux sentiments de cette population assoiffée de justice, le CNSP a l’obligation de rétablir une justice sociale, une justice équitable, une justice libre et indépendante afin de juger tous ceux qui ont mis le Niger dans le chaos avant les évènements du 26 juillet. Il faut mettre le peuple nigérien dans ses droits, cela ne vous coûtera rien car ce peuple est toujours derrière vous.
Deuxième chose, nous ne voulons plus entendre encore l’histoire de première dame que les régimes précédents ont indûment instaurée ; première dame par rapport à qui ou à quoi? Nous ne voulons plus de cela,. La femme du président restera simple femme comme les autres, pourquoi lui attribuer cette position, ce n’est pas non plus elle qui dirige notre pays, donc croix sur sur cette notion de première dame
Merci
À l’attention des Présidents des Sous-Commissions des Assises Nationales: Niger-Niamey, du 15 au 28 / 02 / 2025
Objet : Mise en garde contre les dérives institutionnelles et la captation des Assises Nationales par une fraction de la société civile
Messieurs les Présidents,
Les Assises Nationales, conçues comme un cadre de refondation institutionnelle et de dialogue inclusif, sont en train de devenir l’instrument d’une confiscation politique orchestrée par une frange de la société civile en quête de positionnement institutionnel. Ce constat amer, que de nombreux observateurs partagent, s’écarte radicalement des principes fondateurs de ces assises et menace dangereusement leur crédibilité ainsi que la légitimité des conclusions qui en seront issues.
Le Président de la Transition a pourtant été sans équivoque : les contributions des différents acteurs doivent servir l’intérêt général et non devenir un tremplin pour des ambitions personnelles ou partisanes. Or, il apparaît que sous couvert d’un activisme réformateur, certains ont sciemment écarté les fonctionnaires, les cadres administratifs et les représentants politiques des débats stratégiques, instaurant ainsi un monopole décisionnel qui n’a aucune assise légale et encore moins démocratique.
Un détournement contraire aux principes de gouvernance démocratique et révolutionnaire.
D’un point de vue strictement juridique, la société civile repose sur des principes fondamentaux définis par le droit national et international. La position internationale du Niger, surtout sous l’AES, garantit une participation équilibrée et inclusive aux débats publics, tandis que les engagements internationaux du Niger, notamment la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, imposent la séparation des rôles entre société civile et instances de décision étatique. En cherchant à exclure les acteurs étatiques et politiques légitimes du processus décisionnel, les assises s’orientent vers une dérive oligarchique qui viole ces principes.
En outre, le principe de continuité du service public impose que les politiques publiques soient conçues et mises en œuvre par des institutions légalement établies, et non par des acteurs sans mandat électif ou administratif. Il est inadmissible que des structures associatives, dont la légitimité repose uniquement sur leur capacité d’influence et non sur un mandat démocratique, prétendent s’arroger la direction des réformes étatiques.
Une responsabilité historique des sous-commissions.
Messieurs les Présidents, votre responsabilité dans ce processus est immense. Vous êtes les gardiens de l’équilibre des assises et, à ce titre, vous ne pouvez cautionner une orientation qui bafoue les principes de représentativité et d’inclusivité. En laissant prospérer cette captation institutionnelle, vous exposez non seulement la transition à une crise de légitimité, mais vous hypothéquer également l’avenir du pays en validant une approche biaisée et conflictuelle du débat national.
C’est pourquoi je vous appelle, en vertu des prérogatives que vous détenez, à :
1. Rétablir une gouvernance équilibrée et inclusive au sein des assises, en garantissant la participation effective des fonctionnaires, des cadres administratifs et des représentants politiques aux discussions stratégiques.
2. Éviter toute instrumentalisation des assises par des acteurs cherchant à se positionner dans les futures institutions, conformément aux directives initiales du Président de la Transition.
3. Veiller à ce que les recommandations issues des assises respectent les cadres légaux et institutionnels du Niger, en évitant toute dérive pouvant aboutir à une remise en cause des principes fondamentaux de l’État de droit.
Les assises doivent être un moment de concertation nationale et non un simulacre de refondation orchestré par une minorité au mépris des principes démocratiques. L’histoire retiendra que votre rôle dans cette transition a été soit celui de garants de l’équité républicaine, soit celui de complices d’un détournement institutionnel.
Dans l’espoir que vous prendrez toute la mesure de cette mise en garde, je vous prie d’agréer, Messieurs les Présidents, l’expression de ma considération distinguée. Mani Amadou Maman Bachir. Juriste Privatiste, Cyberjuriste.
À l’attention des Présidents des Sous-Commissions des Assises Nationales:
Niamey-Niger du 15 au 28 / 02 / 2025.
Objet : Urgence d’une réforme juridique et administrative du Fonds de Solidarité Nationale pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP)
Messieurs les Présidents,
L’instauration du Fonds de Solidarité Nationale pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) aurait pu être une avancée majeure en matière de résilience nationale et de mobilisation de ressources pour la défense de l’intérêt général. Cependant, sa mise en place et sa gestion suscitent de vives inquiétudes quant à leur conformité avec les principes de bonne gouvernance, de transparence et de légalité.
En effet, il apparaît que les organes de gestion de ce fonds ont été constitués sans base légale claire, en violation des principes fondamentaux du droit public et des règles encadrant la gestion des fonds publics. De plus, la désignation des membres responsables de son administration ne semble répondre à aucun critère de compétence technique ni de qualification en matière de gestion financière et administrative. Une telle situation expose le FSSP à des risques graves de malversation, de détournement de fonds et de mauvaise allocation des ressources, ce qui pourrait, à terme, compromettre sa mission et sa crédibilité.
Une mise en conformité juridique et institutionnelle nécessaire
D’un point de vue juridique, tout fonds de cette nature doit être institué sur une base légale solide, conformément aux dispositions de la Constitution du Niger et des textes encadrant la gestion des finances publiques. Or, en l’état actuel, le FSSP semble évoluer en marge du cadre normatif existant, ce qui pose un problème de légitimité et d’efficacité administrative.
Il est impératif que ce fonds soit soumis aux principes fondamentaux de la gestion des finances publiques, notamment :
La légalité budgétaire : Tout fonds public doit être créé par un texte juridique formel (loi ou décret) définissant ses missions, son mode de fonctionnement et son régime de contrôle.
La transparence et la traçabilité des fonds : La gestion des ressources doit être encadrée par des procédures de reddition des comptes, sous le contrôle d’organes compétents tels que la Cour des Comptes et l’Inspection Générale d’État.
La compétence des gestionnaires : La désignation des administrateurs du fonds doit obéir à des critères stricts de compétence et d’expertise en gestion financière, en comptabilité publique et en audit.
Propositions pour une réforme rigoureuse du FSSP
Afin de garantir la crédibilité et l’efficacité du FSSP, il est urgent d’adopter une approche structurée et conforme aux exigences de bonne gouvernance. À cet effet, je recommande :
1. L’adoption d’un texte juridique formel (loi ou décret) régissant le FSSP, définissant ses missions, son mode de financement, sa gestion et son contrôle.
2. La création d’un comité de gestion indépendant, composé de personnes qualifiées (experts en finances publiques, auditeurs, représentants de la Cour des Comptes et de l’Inspection Générale d’État), garantissant une gestion rigoureuse et impartiale des fonds.
3. La mise en place d’un dispositif de contrôle budgétaire et financier, incluant un audit annuel obligatoire et la publication périodique des états financiers du FSS.
4. L’intégration du FSSP dans le cadre de la Loi des Finances, afin d’assurer sa supervision par l’Assemblée Nationale et d’éviter toute dérive dans la collecte et l’utilisation des ressources.
5. L’établissement d’un mécanisme de suivi-citoyen, permettant à la société civile et aux organes de presse d’accéder aux informations relatives à la gestion du fonds et d’exercer un droit de regard sur son fonctionnement.
Messieurs les Présidents, la mise en place d’un fonds destiné à la sauvegarde de la Patrie ne peut se faire dans l’approximation et l’opacité. Il est de votre responsabilité, en tant que garants de la refondation institutionnelle, d’œuvrer à l’assainissement de ce mécanisme financier pour en faire un outil efficace et respectueux des normes de gouvernance publique.
Dans l’attente d’une prise en compte diligente de ces propositions, je vous prie d’agréer, Messieurs les Présidents, l’expression de ma considération distinguée. Mani Amadou Maman Bachir Juriste Privatiste, Cyberjuriste.
Tous nos remerciements à vous pour avoir ouvert ce site nous permettant nous aussi de nous exprimer.
En effet le CNSP est le seul conseil qui a eu un soutien qu’aucun conseil au Niger n’a obtenu, et cela c’est parce que la population a été l’objet d’une injustice sans précédent pendant plus de 10 ans.
Alors pour répondre aux sentiments de cette population assoiffée de justice, le CNSP a l’obligation de rétablir une justice sociale, une justice équitable, une justice libre et indépendante afin de juger tous ceux qui ont mis le Niger dans le chaos avant les évènements du 26 juillet. Il faut mettre le peuple nigérien dans ses droits, cela ne vous coûtera rien car ce peuple est toujours derrière vous.
Deuxième chose, nous ne voulons plus entendre encore l’histoire de première dame que les régimes précédents ont indûment instaurée ; première dame par rapport à qui ou à quoi? Nous ne voulons plus de cela,. La femme du président restera simple femme comme les autres, pourquoi lui attribuer cette position, ce n’est pas non plus elle qui dirige notre pays, donc croix sur sur cette notion de première dame
Troisièmement, il faut également nous épargner de l’expression Haut représentant de la république,. Y a-t-il un haut représentant dans État en dehors du président de république,? Je ne pense pas. Donc il faut qu’on n’en parlera plus
Merci
Assalamualaikum bonjour, j’aimerai apporter une contribution concernant un point qui concerne un rapport déposer par une inspection de service exploiter par des juges qui ne connaissent pas les principes comptables et la matière comptable. Ils ne font pas la différence entre un caissier et un comptable. En aucun cas un détournement ne peut d’être effectuer par un caissier mais plutôt par un comptable et son supérieur. Quant au caissier il ne reçoit que des pièces justificatives de paiements à effectuer.les charges qui doivent lui être reprocher ne nul d’autres que les déficits, les soldes non présentés soit les doublons et les imitations des signatures. Sinon n’est jamais associé à aucune décision, il est seulement chargé de faire des paiements des factures selon les ordres qu’il reçoit. Et il n’effectue le paiement tout en tenant comptes du cachet, du nom et de la signature de l’ordonnateur. A cet effet je demandes à la justice revoir ces genres de cas tout en demandant aux juges chargés de traiter ces dossiers de vouloir éviter ces genres d’erreurs à fin de vouloir rendre justice à tout un chacun.
Car un cas c’était présenter dans un dossier concernant la douane ou un caissier à été confondu à un comptable alors qu’en réalité il n’est qu’un simple caissier. Cela fait déjà 2ans qu’un caissier de surcroît à la retraite à l’âge de 64ans a été mis en mandat de dépôt dans une prison où ce dernier à été jeter à l’oubliette alors que certains qui font partis du dossier sont en soit disant une liberté sous caution. nous demandons à cette même justice de vouloir mettre ce dernier dans ses droits. Merci