
Paix, Sécurité, Réconciliation Nationale et cohesion sociale
29 avril 2014
Justice et Droit de l’homme
14 février 2025Géopolitique et Environnement international
Construisons ensemble un avenir durable et stable !
La Commission Géopolitique et Environnement International vous invite à partager vos idées sur les défis géopolitiques actuels et la protection de l’environnement à l’échelle mondiale.
💬 Quelles solutions proposeriez-vous pour renforcer la coopération internationale et lutter contre le changement climatique ?
✍️ Laissez votre proposition en commentaire et participez aux assisses nationales sur l’avenir de notre nation !
409 Commentaires
Bonsoir à tous, j’adresse mes encouragements et mes remerciements à l’endroit de l’ensemble donc du peuple nigérien en général et en particulier les membres du CNPS au premier rang duquel le Général de brigade Abdourahamane Tiani, président de la République du Niger, chef de l’État.
Je viens donc sur cette plateforme pour me prononcer en ce qui concerne sur la thématique notamment la géopolitique et environnement international qui est une question de préoccupation cruciale surtout sur cet élan patriotique.
Je dirai que ces assises nationales de la refondation marquent une étape historique sans précédent.
Quand et lorsque notre pays le Niger a décidé de prendre ses responsabilités en affirmant sa souveraineté et son indépendance depuis les évènements du 26 Juillet 2023 et cela a permis au peuple Nigérien d’identifier ses vrais amis et ses détracteurs voire même ses ennemis au niveau international.
Par rapport cette thématique, je demande et propose à l’Etat du Niger notre cher pays de savoir comment il va mener sa politique étrangère sur la scène internationale.
Cependant la plupart des grands théoriciens des relations internationales affirment et confirment que les États surtout les grandes puissances font des relations internationales juste pour leurs propres intérêts rien que pour leurs propres intérêts.
Je précise que notre pays egorge d’énormes potentialités de par des manières premières qui sont surtout convoitées par les grandes puissances et ce qui fait de notre pays une nation stratégique à l’échelle mondiale.
Par rapport donc à la coopération militaire il y a lieu de bien renforcer des stratégies de défense et de sécurité avec les pays de l’AES et pour qui est des autres grandes puissances connues et identifiées il faut avoir des accords et des conventions bénéfiques en matière de sécurité, de défense, et bien d’autres domaines très importants.
Un partenariat gagnant-gagnant doit être un point fondamental et nécessaire dans toutes nos relations internationales.
Faisons en sorte que notre politique ne soit pas décidée à l’extérieur.
Pour finir je suggère et souhaite que la confédération des États du Sahel (Niger, Burkina et Mali) ait une souveraineté monétaire c’est à dire de faire tout pour avoir propre monaie afin de tourner la page de fcfa qui est une monaie coloniale imposée par la France obscurantiste.
J’implore Allah SWT de protéger notre cher pays pour toute sorte de menaces ainsi que les projets soniques et sournois de la part de nos ennemis externe et interne.
Qu’Allah descende sa Grâce et Miséricorde sur notre pays
Vive le CNSP
Vive l’AES
Vive le Niger
La patrie ou la mort nous vaincrons !!!
À l’attention des Présidents des Sous-Commissions des Assises Nationales:
Niamey-Niger du 15 au 28 / 02 / 2025.
Objet : Urgence d’une réforme juridique et administrative du Fonds de Solidarité Nationale pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP)
Messieurs les Présidents,
L’instauration du Fonds de Solidarité Nationale pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) aurait pu être une avancée majeure en matière de résilience nationale et de mobilisation de ressources pour la défense de l’intérêt général. Cependant, sa mise en place et sa gestion suscitent de vives inquiétudes quant à leur conformité avec les principes de bonne gouvernance, de transparence et de légalité.
En effet, il apparaît que les organes de gestion de ce fonds ont été constitués sans base légale claire, en violation des principes fondamentaux du droit public et des règles encadrant la gestion des fonds publics. De plus, la désignation des membres responsables de son administration ne semble répondre à aucun critère de compétence technique ni de qualification en matière de gestion financière et administrative. Une telle situation expose le FSSP à des risques graves de malversation, de détournement de fonds et de mauvaise allocation des ressources, ce qui pourrait, à terme, compromettre sa mission et sa crédibilité.
Une mise en conformité juridique et institutionnelle nécessaire
D’un point de vue juridique, tout fonds de cette nature doit être institué sur une base légale solide, conformément aux dispositions de la Constitution du Niger et des textes encadrant la gestion des finances publiques. Or, en l’état actuel, le FSSP semble évoluer en marge du cadre normatif existant, ce qui pose un problème de légitimité et d’efficacité administrative.
Il est impératif que ce fonds soit soumis aux principes fondamentaux de la gestion des finances publiques, notamment :
La légalité budgétaire : Tout fonds public doit être créé par un texte juridique formel (loi ou décret) définissant ses missions, son mode de fonctionnement et son régime de contrôle.
La transparence et la traçabilité des fonds : La gestion des ressources doit être encadrée par des procédures de reddition des comptes, sous le contrôle d’organes compétents tels que la Cour des Comptes et l’Inspection Générale d’État.
La compétence des gestionnaires : La désignation des administrateurs du fonds doit obéir à des critères stricts de compétence et d’expertise en gestion financière, en comptabilité publique et en audit.
Propositions pour une réforme rigoureuse du FSSP
Afin de garantir la crédibilité et l’efficacité du FSSP, il est urgent d’adopter une approche structurée et conforme aux exigences de bonne gouvernance. À cet effet, je recommande :
1. L’adoption d’un texte juridique formel (loi ou décret) régissant le FSSP, définissant ses missions, son mode de financement, sa gestion et son contrôle.
2. La création d’un comité de gestion indépendant, composé de personnes qualifiées (experts en finances publiques, auditeurs, représentants de la Cour des Comptes et de l’Inspection Générale d’État), garantissant une gestion rigoureuse et impartiale des fonds.
3. La mise en place d’un dispositif de contrôle budgétaire et financier, incluant un audit annuel obligatoire et la publication périodique des états financiers du FSS.
4. L’intégration du FSSP dans le cadre de la Loi des Finances, afin d’assurer sa supervision par l’Assemblée Nationale et d’éviter toute dérive dans la collecte et l’utilisation des ressources.
5. L’établissement d’un mécanisme de suivi-citoyen, permettant à la société civile et aux organes de presse d’accéder aux informations relatives à la gestion du fonds et d’exercer un droit de regard sur son fonctionnement.
Messieurs les Présidents, la mise en place d’un fonds destiné à la sauvegarde de la Patrie ne peut se faire dans l’approximation et l’opacité. Il est de votre responsabilité, en tant que garants de la refondation institutionnelle, d’œuvrer à l’assainissement de ce mécanisme financier pour en faire un outil efficace et respectueux des normes de gouvernance publique.
Dans l’attente d’une prise en compte diligente de ces propositions, je vous prie d’agréer, Messieurs les Présidents, l’expression de ma considération distinguée. Mani Amadou Maman Bachir Juriste Privatiste, Cyberjuriste.
Bonjour À l’ endroit de notre politique internationale compte tenu des grands enjeux qui définissent l ordre mondial actuel et à venir il est impératif d avoir une vision globale qui inclut tout les aspects qui soient et cela dans leur moindres détails. Aujourd’hui les grandes puissances c est elles qui dirigent le monde de par leurs politiques c est eux qui prennent toujours les décisions les importantes pour le reste du monde parce que tout simplement ils étudiés nos sociétés jusqu’au moindre petit détail les rapports sociaux ethniques les langues parlées toute ces composantes sont passées peigne fin ils des spécialistes du Niger du Mali et de Burkina ect… finalement de l Afrique tout entière. Alors nous aussi nous pouvons du avoir nos propres spécialistes tous ces pays à notre tour en formant des jeunes capables d avoir un niveau élevé d analyse et d intuition forte et beaucoup de discernement les gouvernements de l AES devraient se pencher sur cette question si ce n’ est déjà fait à ce niveau d une autre manière.De les façons c est humain donc cela n est pas impossible.
Proposition de dissolution et refondation des institutions et structures
Dans une démarche audacieuse et déterminée pour réinventer le modèle de gouvernance et établir un nouveau système politique plus inclusif et démocratique, il deviendra impératif de proposer une dissolution radicale des structures et entités actuelles, à savoir :
– L’armée,
– Les partis politiques,
– Les organisations de la société civile (OSC),
– Les syndicats,
– La chefferie traditionnelle,
– Les frontières artificielles héritées de la colonisation,
– Les forces de défense et de sécurité (FDS).
Cette proposition s’inscrira dans une logique de refondation totale du système et visera à répondre aux défis contemporains de notre nation et de notre région. La refondation ne se limitera pas à la dissolution des structures internes, mais englobera également la réorganisation des frontières et des forces de défense dans un cadre confédéral élargi.
Arguments en faveur de cette dissolution radicale et refondation :
1. Dissolution de l’armée et des forces de défense et de sécurité (FDS) :
Les forces armées et de sécurité, héritées de contextes coloniaux et souvent déconnectées des réalités locales, seront parfois perçues comme des instruments de répression et de déstabilisation. En les dissolvant et en redéfinissant les rôles des nouvelles forces de sécurité au sein de la Confédération des États du Sahel, nous établirons une force de sécurité nationale, régionale et transnationale, axée sur la coopération et la défense commune. Cela permettra de garantir la stabilité, l’ordre et la protection des droits humains sur l’ensemble du territoire, tout en évitant la militarisation de la politique et en renforçant les partenariats entre États voisins.
2. Dissolution des partis politiques :
Les partis politiques actuels, héritiers de clivages historiques, exacerbent souvent les divisions internes et favorisent les rivalités ethniques, communautaires et régionales. Leur dissolution permettra de mettre fin à un système politique fragmenté, pour créer un modèle basé sur la transparence, l’éthique et la représentation véritablement nationale. Le nouveau système favorisera des représentations plus fluides et centrées sur les projets de développement, non sur des intérêts partisans.
3. Dissolution des organisations de la société civile (OSC) et des syndicats :
Les OSC et les syndicats actuels, bien que jouant un rôle important dans la défense des droits des citoyens, seront souvent divisés et influencés par des intérêts étrangers ou internes non représentatifs de la majorité de la population. Leur refondation permettra de créer des entités véritablement représentatives, inclusives et concentrées sur les besoins réels de la société. Cette refondation permettra également de limiter les ingérences externes dans les affaires internes du pays.
4. Révision de la chefferie traditionnelle
La chefferie, en tant que structure sociale, pourra parfois être une source de division ou de résistance au changement. Une révision de ce modèle permettra de renforcer la place de la chefferie dans une structure démocratique où les chefs traditionnels seront appelés à jouer un rôle consultatif ou symbolique, plutôt que d’être des acteurs de pouvoir qui peuvent perturber le processus de modernisation du pays.
5. Révision des frontières artificielles de la Confédération des États de l’Alliance du Sahel :
Les frontières actuelles, dessinées sans tenir compte des réalités culturelles, ethniques et historiques des peuples du Sahel, seront sources de tensions et de conflits récurrents. Proposer une redéfinition de ces frontières, dans le cadre d’une nouvelle vision géopolitique, favorisera une meilleure coopération entre les peuples et renforcera la stabilité régionale. Une refondation des frontières et des relations régionales permettra de construire une véritable confédération fondée sur la solidarité, la coopération et l’équité entre les différents États de l’Alliance du Sahel.
Arguments pour une meilleure refondation des climats sociaux, politiques et économiques :
1. Création d’un système politique transparent et équitable :
En dissolvant les structures existantes et en partant sur des bases nouvelles, nous établirons un système démocratique véritablement représentatif, capable de répondre aux besoins de toutes les populations, sans discrimination, tout en luttant contre la corruption et l’opacité qui gangrènent les institutions actuelles.
2.Renforcement de l’unité nationale :
Le processus de dissolution et de refondation renforcera la cohésion sociale en supprimant les clivages artificiels entre groupes ethniques, religieux et sociaux. Une nouvelle architecture politique et sociale permettra de rassembler les citoyens autour d’une vision commune, renforçant ainsi la stabilité et la solidarité nationale.
3. Mise en place de structures de gouvernance locales inclusives :
La refondation favorisera également la décentralisation du pouvoir, en impliquant davantage les communautés locales dans les processus décisionnels. Cela permettra une meilleure gestion des ressources et des besoins spécifiques à chaque région, et garantira une plus grande participation citoyenne à la vie politique et sociale.
4. Réconciliation et réparation des fractures sociales :
Cette refondation sera également une occasion de réparer les injustices passées, qu’elles soient sociales, économiques ou historiques, et d’instaurer un climat de confiance entre l’État et ses citoyens. Ce processus débouchera sur une réconciliation nationale, dans laquelle toutes les composantes de la société seront appelées à jouer un rôle constructif.
5. Renforcement de la sécurité et de la justice sociale :
Une refondation des institutions permettra de repenser les stratégies de sécurité en lien avec la réalité du terrain, en intégrant les citoyens dans les efforts de prévention et de gestion des crises. Parallèlement, une gestion plus inclusive des questions sociales et économiques permettra de lutter plus efficacement contre les inégalités et les injustices sociales, en assurant une redistribution équitable des ressources.
Conclusion :
Dissoudre les institutions existantes et repartir de zéro sera un pari audacieux mais nécessaire pour garantir un avenir plus prospère, juste et équitable pour tous les citoyens du Niger et de la région du Sahel. Ce processus de refondation, bien qu’ambitieux, permettra de créer une nation plus unie, démocratique et stable, capable de relever les défis contemporains avec succès. La réorganisation des forces de défense et de sécurité, ainsi que la redéfinition des frontières dans le cadre de la Confédération des États du Sahel, sera essentielle pour bâtir une région plus sûre et plus coopérative, à même de faire face aux enjeux de sécurité et de développement.
À l’attention des Présidents des Sous-Commissions des Assises Nationales:
Niamey-Niger du 15 au 28 / 02 / 2025.
Objet : Urgence d’une réforme juridique et administrative du Fonds de Solidarité Nationale pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP)
Messieurs les Présidents,
L’instauration du Fonds de Solidarité Nationale pour la Sauvegarde de la Patrie (FSSP) aurait pu être une avancée majeure en matière de résilience nationale et de mobilisation de ressources pour la défense de l’intérêt général. Cependant, sa mise en place et sa gestion suscitent de vives inquiétudes quant à leur conformité avec les principes de bonne gouvernance, de transparence et de légalité.
En effet, il apparaît que les organes de gestion de ce fonds ont été constitués sans base légale claire, en violation des principes fondamentaux du droit public et des règles encadrant la gestion des fonds publics. De plus, la désignation des membres responsables de son administration ne semble répondre à aucun critère de compétence technique ni de qualification en matière de gestion financière et administrative. Une telle situation expose le FSSP à des risques graves de malversation, de détournement de fonds et de mauvaise allocation des ressources, ce qui pourrait, à terme, compromettre sa mission et sa crédibilité.
Une mise en conformité juridique et institutionnelle nécessaire
D’un point de vue juridique, tout fonds de cette nature doit être institué sur une base légale solide, conformément aux dispositions de la Constitution du Niger et des textes encadrant la gestion des finances publiques. Or, en l’état actuel, le FSSP semble évoluer en marge du cadre normatif existant, ce qui pose un problème de légitimité et d’efficacité administrative.
Il est impératif que ce fonds soit soumis aux principes fondamentaux de la gestion des finances publiques, notamment :
La légalité budgétaire : Tout fonds public doit être créé par un texte juridique formel (loi ou décret) définissant ses missions, son mode de fonctionnement et son régime de contrôle.
La transparence et la traçabilité des fonds : La gestion des ressources doit être encadrée par des procédures de reddition des comptes, sous le contrôle d’organes compétents tels que la Cour des Comptes et l’Inspection Générale d’État.
La compétence des gestionnaires : La désignation des administrateurs du fonds doit obéir à des critères stricts de compétence et d’expertise en gestion financière, en comptabilité publique et en audit.
Propositions pour une réforme rigoureuse du FSSP
Afin de garantir la crédibilité et l’efficacité du FSSP, il est urgent d’adopter une approche structurée et conforme aux exigences de bonne gouvernance. À cet effet, je recommande :
1. L’adoption d’un texte juridique formel (loi ou décret) régissant le FSSP, définissant ses missions, son mode de financement, sa gestion et son contrôle.
2. La création d’un comité de gestion indépendant, composé de personnes qualifiées (experts en finances publiques, auditeurs, représentants de la Cour des Comptes et de l’Inspection Générale d’État), garantissant une gestion rigoureuse et impartiale des fonds.
3. La mise en place d’un dispositif de contrôle budgétaire et financier, incluant un audit annuel obligatoire et la publication périodique des états financiers du FSS.
4. L’intégration du FSSP dans le cadre de la Loi des Finances, afin d’assurer sa supervision par l’Assemblée Nationale et d’éviter toute dérive dans la collecte et l’utilisation des ressources.
5. L’établissement d’un mécanisme de suivi-citoyen, permettant à la société civile et aux organes de presse d’accéder aux informations relatives à la gestion du fonds et d’exercer un droit de regard sur son fonctionnement.
Messieurs les Présidents, la mise en place d’un fonds destiné à la sauvegarde de la Patrie ne peut se faire dans l’approximation et l’opacité. Il est de votre responsabilité, en tant que garants de la refondation institutionnelle, d’œuvrer à l’assainissement de ce mécanisme financier pour en faire un outil efficace et respectueux des normes de gouvernance publique.
Dans l’attente d’une prise en compte diligente de ces propositions, je vous prie d’agréer, Messieurs les Présidents, l’expression de ma considération distinguée. Mani Amadou Maman Bachir Juriste Privatiste, Cyberjuriste.
Communication et gestion de l’adhésion populaire : Le changement radical proposé pourrait susciter des inquiétudes parmi certaines parties de la population, notamment ceux qui bénéficient du système actuel. Une stratégie de communication claire et inclusive sera essentielle pour expliquer les bénéfices à long terme de cette refondation, tout en écoutant et en prenant en compte les préoccupations du peuple.
En conclusion,
cette proposition de refondation nationale constituera une opportunité historique de réinventer le système de gouvernance du Niger. Bien que ce soit un processus ambitieux et complexe, ses avantages à long terme meneront à une nation plus stable, inclusive et démocratique.
En tant qu’éducatrice et chercheuse, j’’aimerais proposer les points suivants:
Premier point: la création de jardins botaniques dans toutes les régions de notre pays voire dans toutes les villes . Ces jardins contiendront des espèces d’arbres natifs et utiles de notre biome : Baobab, Gao, Adoua, Roniers, jujubiers, caroubes, gommiers etc.
Pour cela il faudra réunir une équipe de biologistes qui réaliseront une liste exhaustive de toutes les espèces végétales natives de notre zone. Ensuite créer une pépinière et ensuite réaliser les implantations des arbres dans les zones sélectionnées.
Ces jardins doivent être protégés et sécurisés. Ils serviront à éduquer les jeunes agriculteurs sur l’importance de notre flore et de la faune qui s’y installera.
Ensuite, intégrer les visites et l’entretien de ces jardins botaniques dans le curriculum des programmes d’enseignement dès l’école primaire.
Mon deuxième point: Travailler sur l’éradication des sacs plastiques et des contenants en polystyrène.
Première stratégie: Les commerçants doive arrêter de servir leurs marchandises dans des sacs plastiques. Au lieu du sachet, ils doivent fournir de grands sacs réutilisables qu’ils vendront aux clients. En achetant un sac réutilisable, le client deviendra plus éco-responsable et prendra l’habitude d’aller faire ses courses avec son sac.
Les vendeurs de nourriture et d’eau devraient fournir des contenants réutilisables qui seront offerts comme consignes: exemple: pour le premier achat, le client paye le prix du contenant qui est inclus dans le prix final de la boisson ou de la nourriture. Ensuite, si au prochain achat, le client rapporte le contenant vide et propre, il bénéficiera d’une remise.
L’objectif est de pouvoir arrêter l’utilisation abusive du plastique qui termine sa course dans nos sols et qui pollue l’environnement.
Je vous présente mes excuses : je me suis trompée et j’ai posté mon commentaire dans la mauvaise section.
Je propose l’abandon progressif de la langue française dans nos écoles et l’administration au profit de la langue anglaise qui la plus solide sur le plan international.
Ça marquera par la même occasion, notre vrai indépendance avec l’ancien colon qui utilise toujours ce levier pour nous asservir.
Dissoudre les partis politiques actuels, créer à l’avenir le système de parti unique, gauche ou droite.
Nommez les techniciens du domaine sur des postes de responsabilité dans les institutions spécialisées pour une meilleure productivité de résultat.
créer une plateforme digitale des alertes anonymes pour dénoncer des cas de mauvaises gestion de service et biens de l’etat
As salamu aleykum. En tant que pauvre nigérien qui est victime d’une injustice par des différents chef des affaires domaniales de la commune 4 et la mairie centrale chargé des places publiques et les devantures des gens. Y’a des garagistes qui ont plus de 20 ans a la devanture de mes maisons et sans autorisation et surtout toujours dans le tapage . J’ai tout fait pour les déguerpir mais les différents chef des affaires domaniales de la commune 4 ont fait de cette place un lieu où ils gagnent de l’argent. Les garagistes ne sont même pas de mon quartier mais ils sont plus écoutés a la mairie centrale et plus fort que puisque en tant que habitants du quartier et propriétaire de mes maisons qui sont sur la place une consigne a été donné de ne plus me recevoir par les différents chef de la mairie centrale a savoir le DEM concernant l’affaire des garagistes installés anarchiquement sur la place publique et devant mes maisons . J’ai tout fait pour faire venir les chefs de la mairie centrale sur le terrain pour qu’ils puissent venir voir wallahi ils ont refusé. Si c’est vraiment la refondation les nigériens doivent être au même pied d’égalité.pas d’injustice a cause de ….???????????????????????? qu’Allah nous viennent en aide et changé notre mentalité sur ce bas monde surtout concernant la corruption qui est mis avant le patriotisme. qu’Allah élève le Niger et l’aes du haut des pays du monde et le protège le Niger et ses dirigeants actuels contre l’ennemi internes et externes. Amine ya allah .
Je souhaite ici faire part de mes contributions sur le point en lien avec l’environnement institutionnel au niveau international et notamment le positionnement des nigériens dans les instances de gouvernance et de prise de décision. Prenons le cas des nigériens déjà installés dans les institutions internationales comme les Nations Unies et bien d’autre. Certes, ceux ci doivent être encouragés à faciliter l’arrivée de nouveaux talents, mais d’autre part, les politiques ainsi que le positionnement à certains postes se décident par les représentants des organisations dans les pays d’affectation. Ce n’est un secret pour personne que cet environnement est marqué par des positionnements stratégiques des nations au sein de ces organisations. Le Niger doit revoir sa manière d’accueillir les représentants en appliquant le principe de réciprocité. Nous avons des talents et des personnes hautement qualifiées qui vont bien leur travail sans reproche. Dans certains pays, c’est tout simplement incroyable de voir la haute représentation d’une nationalité au détriment des autres et ce fait est une question de non implication de notre pays dans le jeu stratégique avec ses leaders. Il nous faut donc former nos jeunes talents et leaders qui prétendent aux postes internationaux, le Niger se doit aussi d’instituer un service de formation aux carrières UN et INGO et au lobbying pour une montée en puissance de nos nationaux et candidats à la représentation.
À l’attention des Présidents des Sous-Commissions des Assises Nationales: Niger-Niamey, du 15 au 28 / 02 / 2025
Objet : Mise en garde contre les dérives institutionnelles et la captation des Assises Nationales par une fraction de la société civile
Messieurs les Présidents,
Les Assises Nationales, conçues comme un cadre de refondation institutionnelle et de dialogue inclusif, sont en train de devenir l’instrument d’une confiscation politique orchestrée par une frange de la société civile en quête de positionnement institutionnel. Ce constat amer, que de nombreux observateurs partagent, s’écarte radicalement des principes fondateurs de ces assises et menace dangereusement leur crédibilité ainsi que la légitimité des conclusions qui en seront issues.
Le Président de la Transition a pourtant été sans équivoque : les contributions des différents acteurs doivent servir l’intérêt général et non devenir un tremplin pour des ambitions personnelles ou partisanes. Or, il apparaît que sous couvert d’un activisme réformateur, certains ont sciemment écarté les fonctionnaires, les cadres administratifs et les représentants politiques des débats stratégiques, instaurant ainsi un monopole décisionnel qui n’a aucune assise légale et encore moins démocratique.
Un détournement contraire aux principes de gouvernance démocratique et révolutionnaire.
D’un point de vue strictement juridique, la société civile repose sur des principes fondamentaux définis par le droit national et international. La position internationale du Niger, surtout sous l’AES, garantit une participation équilibrée et inclusive aux débats publics, tandis que les engagements internationaux du Niger, notamment la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, imposent la séparation des rôles entre société civile et instances de décision étatique. En cherchant à exclure les acteurs étatiques et politiques légitimes du processus décisionnel, les assises s’orientent vers une dérive oligarchique qui viole ces principes.
En outre, le principe de continuité du service public impose que les politiques publiques soient conçues et mises en œuvre par des institutions légalement établies, et non par des acteurs sans mandat électif ou administratif. Il est inadmissible que des structures associatives, dont la légitimité repose uniquement sur leur capacité d’influence et non sur un mandat démocratique, prétendent s’arroger la direction des réformes étatiques.
Une responsabilité historique des sous-commissions.
Messieurs les Présidents, votre responsabilité dans ce processus est immense. Vous êtes les gardiens de l’équilibre des assises et, à ce titre, vous ne pouvez cautionner une orientation qui bafoue les principes de représentativité et d’inclusivité. En laissant prospérer cette captation institutionnelle, vous exposez non seulement la transition à une crise de légitimité, mais vous hypothéquer également l’avenir du pays en validant une approche biaisée et conflictuelle du débat national.
C’est pourquoi je vous appelle, en vertu des prérogatives que vous détenez, à :
1. Rétablir une gouvernance équilibrée et inclusive au sein des assises, en garantissant la participation effective des fonctionnaires, des cadres administratifs et des représentants politiques aux discussions stratégiques.
2. Éviter toute instrumentalisation des assises par des acteurs cherchant à se positionner dans les futures institutions, conformément aux directives initiales du Président de la Transition.
3. Veiller à ce que les recommandations issues des assises respectent les cadres légaux et institutionnels du Niger, en évitant toute dérive pouvant aboutir à une remise en cause des principes fondamentaux de l’État de droit.
Les assises doivent être un moment de concertation nationale et non un simulacre de refondation orchestré par une minorité au mépris des principes démocratiques. L’histoire retiendra que votre rôle dans cette transition a été soit celui de garants de l’équité républicaine, soit celui de complices d’un détournement institutionnel.
Dans l’espoir que vous prendrez toute la mesure de cette mise en garde, je vous prie d’agréer, Messieurs les Présidents, l’expression de ma considération distinguée. Mani Amadou Maman Bachir. Juriste Privatiste, Cyberjuriste.