
Réfondation politique et institutionnelle
28 avril 2014Economie et Développement Durable
Construisons ensemble une économie durable !
La Commission Économie et Développement Durable vous invite à partager vos idées pour une croissance inclusive et respectueuse de l’environnement.
💡 Quelles solutions proposeriez-vous pour un développement équilibré et durable ?
💬 Laissez votre proposition en commentaire et participez à la transformation de notre économie !
1189 Commentaires
Quelle est la politique économique que l’État compte mettre en place pour attirer les investisseurs et encourager la Diaspora à investir aussi afin de développer le Tissu économique et Industriel? De ce que je vois jusque là les douanes et les impôts s’acharnent sur le peu d’entreprises présentes les poussant à l’agonie. De même le taux de l’IITS est un des okus élevés en Afrique ce qui fait que même les employés de sociétés privées ne sont pas encouragés à investir parce que n’ayant pas d’épargne. Qu’est ce qui est fait pour amener les contribuables de Katako à payer des impôts en bonne et due forme??
Pour moi l’état doit mettre en place une politique d’attractivité afin d’attirer les investisseurs
– Auparavant le corridor Niger Bénin doit être ouvert et celui Lomé Niamey sécurisé
– il faut créer des ports secs et des zones franches (sans fiscalité) au Niveau de chaque région frontalière
– encourager chaque investisseurs en les dispensants d’impôts et taxes sur 7 ans
– Baisser le taux de l’IUTS pour encourager l’entreprenariat privé endogène
– Faciliter et encourager les investissements provenant de la Diaspora
– Élargit l’assiette fiscale aux commerçants de Katako qui contribuent en réalité très peu pour le CA qu’ils géerent
– revoir et rehausser la retraite pour encourager les gens à investir pour leur retraites au Niger. Cela permettra d’avoir une seconde vie aux fonctionnaires arrivés à la retraite.
Considérant la situation financière du pays,
Considérant le coup des denrées alimentaires,
Considérant que un plus grand nombre du peuple vivent en dessous du seuil
Nous recommandons de créer toutes les mesures possibles pour que les commerçants vendent les produits de sorte que le pauvre citoyen puisse avoir ses plats quotidiens
En attendant, la fonction publique est quasi vide en fonctionnaires matriculés. Nous ne pouvons pas être performants avec quasiment des contractuels et stagiaires (bénévoles). Garder aumoins un remplacement complet de ceux vont en retraite chaque année avec des matriculés.
Avec un recrutement annuel régulier, profiter des embellies circonstancielles pour recruter davantage. Quand l’impérialisme nous dicte de vider la fonction publique, nous devons faire le contraire. Par défaut de recrutement des nouveaux diplômés le niveau a baissé dans les enseignements, général et professionnel. Si nous on se ressaisit pas on va à la dérive. Par exemple l’ouverture de 200 mairies en 2004 sans recrutement d’un milliers de diplomés au-moins durant ces années pour les animer, a été un gap de planification.
A ra’ayi Na bayan an qayyade jam’iyun siyasa guda 2 ko 3 to a saka wata tawaga ta malaman addinin musulinci a matsayin Yan majalissa wato diftotci Wanda Sune za su yanke ko suwa wanene shuwagabannin jam’iyyun guda 3 kafin aje lokacina zabe soboda malamai zasu duba Wanda ya dace ne ba Wanda yake da kudi ba kuma baza su karbi cin hanci ba.
Sannan daga karshe a sanar da talakawa cewa Wayannan malaman Sune wayanda ake jiran abinda zai fitowa daga garesu Na cewa wanene ya dace ya Zama shugaba sannan sai ayi zabe cikin shuwagabannin 3 ko 2 da malamai suka tantance kuma ya zama babu Wanda ya isa Ya canza wannan ka’idar har abada kuma duk shugaban da yazo bai isa Ya canza ba in kuma yayi kokarin canzawa to malamai da almajirai za su Shiga masallaci
Le système francophone est lent à s’adapter à toute relance. En fait créer des nouvelles mairies ou préfectures ou régions doivent être une belle occasion de booster les plus values tant au public qu’au privé.
La commission doit mettre une stratégie impliquant la jeunesse en créant des cadres favorisant l’entreprenariat de cette dernière et l’insertion professionnelle.
Merci de me donner l’occasion d’apporter ma contribution sur cette plateforme
Pour le développement du système de santé, penser à améliorer le plateau technique au niveau communal et au niveau des nouveaux départements. Exemple Falmey est un département mais il n’a pas d’infrastructure de district digne de l’entité. Une équipe cadre de district n’a même pas de bâtiment administratif. Les membres de l’équipe cadre logent comme des saprophytes dans les locaux du CSI urbain de Falmey. De nombreux départements créés sont dans cette situation depuis 2011.
Créer des centres médicaux communaux. Depuis 2011 des médecins ont été placés au niveau des communes mais l’infrastructure n’a pas suivi et le plateau technique aussi. Réhabiliter ces centres pour qu’ils soient de véritables centres médicaux où le médecin et ses collaborateurs peuvent fournir des soins de qualité. 14 ans après la mise en place des médecins dans les communes les centres sont restés pour la plupart au stade de CSI.
Construire des infrastructures au niveau des départements créés vers 2011: Bloc administratif pour l’équipe cadre de district, services d’hospitalisation, laboratoire, maternité en bonne et due forme voire construire un hôpital dans chaque chef lieu de département. Ces nouveaux départements pour la plupart n’ont pas des infrastructures à la hauteur de l’entité.
Repenser la qualité des soins dans les cases de santé. Mettre des infirmiers dans ces cases de santé et renforcer les capacités y compris la supervision formative. Aujourd’hui ces cases sont laissées pour compte et les agents qui y travaillent sont devenus des raquetteurs par défaut de contrôle.
Il y a encore de gros villages qui n’ont pas bénéficier de cases de santé. Donc continuer la création de cases tout en poursuivant la transformation de certaines cases en CSI.
Penser à améliorer le plateau technique dans certains CSI. Plus de 20 ans après on peut trouver des CSI où depuis la création il n’y a pas eu d’amélioration de l’existant encore moins celle du plateau technique.
Veiller à la disponibilité constante des médicaments dans les formations sanitaires du niveau opérationnel (hôpitaux de district, CSI et Cases de santé) pour garantir une véritable gratuité des soins.
Certes renforcer les capacités des hôpitaux de référence comme ceux des grandes villes est important mais la majorité de la population fréquente d’abord les structures que j’ai évoquées.
Plus de 15 ans que la majorité des chefs lieux des communes n’ont pas une sanitaire à la hauteur de l’entité décentralisée.
15 ans que la majorité des départements créés vers 2011 n’ont pas d’infrastructure sanitaire digne de ce nom.
Repanser aussi le système de recouvrement des coûts de soins pour que l’Etat apporte véritablement son appui budgétaire.
Est ce que le développement des anciens départements s’est faite en seulement 15 ans ? Notre population se multiplie par 2 chaque 20 ans. Nous devons programmer qu’une unité qui gagne puisse reproduire des unités parallèles tout en continuant à exister. Lorsque nous ne sommes pas a mesure de dupliquer en plusieurs spécimens ce qui marche déjà pour le bien de notre population, notre volonté de développement est théorique , nous resterons néo colonisés.
propositions:
– retirer le pouvoir d’ordonnateur aux Directeurs généraux des sociétés d’Etat, des Agences d’Etat; ils dépensent les ressources sans compter; ils utilisent ces ressources pour corrompre et faire passer des textes de loi à leur gout , taillés sur mesure et influencent leur conseil d’administration
nommer au poste de président de conseil d’administration des fonctionnaires du domaine et en activité arrêter de nommer des retarifâtes cherchant à joindre les deux bout donc corruptibles
Accélérer le recrutement massif de jeunes diplômés.
Faire justice aux diplômés en pétrole qui sont bloqués au niveau de ministère du pétrole, comme le cas des ingénieurs formés à la filière mines et pétrole de l’Université de Niamey.
Faire justice aux admis du concours de douane 2018
Les mines et pétrole représentent aujourd’hui les principales ressources stratégiques du Niger. Aujourd’hui, notre pays aspire à une souveraineté sur tous les plans. La commission doit mettre un accent sur la prise en main de ces ressources par la main d’œuvre nationale afin de rendre effective notre indépendance énergétique. Ainsi, une centaine de techniciens et ingénieurs sont formés à l’Université Abdou Moumouni et à l’INP-HB dans ce cadre initié par le feu Tanja Mamadou afin de permettre au Niger d’exploiter et de gérer son pétrole par les ingénieurs nationaux. Aujourd’hui, pendant que ce domaine connais son plus grand essor au Niger, bon nombre de ces ingénieurs, ayant reçu de solides bases sur l’industrie minière et pétrolière, se retrouvent pour la plupart au chômage et pour les plus chanceux dans des postes de bas échelle de ce domaine. Opérateurs pour les plus chanceux et souvent même en sous-traitance avec d’autres sociétés moins influentes avec de salaires dérisoires.
Nous formulons une doléance à cette commission d’œuvrer pour que nos ingénieurs et techniciens soient impliqués effectivement dans l’exploitation des mines et pétrole et permettre la nigerienisation du secteur des énergies au Niger.
Nous souhaiterions aussi que nos ingénieurs et techniciens soient recrutés par la SONIDEP et les mettre à disposition aux sociétés étrangères qui exploitent nos ressources afin de défendre les intérêts du Niger au niveau de ces différentes sociétés comme la CNPC, CPP, WAPCO, …
Les autorités doivent mettre un accent sur le transfert des compétences dans les industries pétrolières et minières qui opèrent dans notre. Pour cela il faut accélérer le recrutement des jeunes capables de relever le défi. Par exemple beaucoup d’ingénieurs en pétrole et en mines formés à l’INPHB de yamoussokro au frais du contribuable sont laissés dans le désespoir totale.
Pour commence je pense que le Niger doit avoir une politique économique centralisè c’est a dire le gournement doit tout controler et non laisser la gestion a des proprietaire privee qui fixent les prix des marchandises metre au niveau de chaque direction regionale et departementale des cahiers de charge qui seront controler chaque 3 mois par des inspecteur d’etats et le service de lutte contre la fraude et la corruption investire massivement dans la production locale construire dans chaque region du pays des port sec et des aeroport pour le tranport de nos ressource dans le pays et a l’internationnale pousser les entreprise priver a recruter des jeunes pour des stages et des emplois fixer un salaire honnorable en fonction de votre diplome (BEPC,BAC,LICENCE,BTS,MASTER,DOCTORA, ou des diplomes equivalent) le pays doit aussi choisir ces partennaire economique en fonction des criteres qu’il doit poser dans le continent et a l’internationnale ,preserver les ressources naturelle strategique ,prioriser nos partenaire de L’AES , renforcer la cooperation economique avec les pays du sud globale et certain pays ami (Russie, Inde ,Pakistan,Chine ,Turquie,L’Egypte ,Afrique du sud,Bresil,Japon,Indonesie,Malaisie,UEA,Arabie Saoudite,Maroc,Algerie ,Lybie),le pays doit aussi chercher a promouvoire ses richesses sociale couper toute forme de cooperation avec des pays hostiles a notre emancipation
J’espère que nos propositions seront prises en compte car in n’est jamais trop tard pour bien faire. Pour la commission économie et développement durable doit d’abord faire un diagnostic approfondie de la situation économique actuelle de notre économie et de notre niveau de développement. Pour la situation économique n’est pas réjouissante; elle se caractérise sur le plan conjoncturel par un niveau d’inflation élevé, environ 5 % en fin 2024, le chômage élevé des jeunes diplômés, le faible niveau d’épargne nationale, l’alourdissement croissant du niveau d’endettement, la baisse du pouvoir d’achat des ménages due aux effets de l’inflation, l’approfondissement de la pauvreté. Par ailleurs aucun constat n’a été fait concernant notre position de dernier pays sur plusieurs décennies en classement de l’IDH.
Nous sommes victimes du cercle vicieux de la pauvreté. Et la situation risque de s’empirer si des mesures drastiques ne sont pas prises aussi bien sur le court terme que le long terme, à la fois sur le plan conjoncturel que structurel. D’abord il faut élaborer à la fois une politique conjoncturelle et une politique structurelle. Sur le plan conjoncturelle, lutter contre l’inflation pour soutenir le pouvoir d’achat par l’augmentation des salaires des fonctionnaires de 10% minimum et les pensions de 20% en instaurant une indemnité de départ à la retraite des fonctionnaires de 3 mois avec effet rétroactif comme pour les militaires. Je propose la suppression de la redevance ORTN et la taxe d’habitation qui sont payées chaque mois sur les factures d’électricité. La création, auprès du cabinet du 1er Ministre ou au Ministère de l’économie et des finances, d’un fonds d’investissement (sans intérêt) en appui à la création d’entreprises pour les retraités et les jeunes diplômés sans emploi porteurs de projets. Eviter autant que faire se peut, l’endettement extérieur, source d’appauvrissement et privilégier l’emprunt national en faisant recours à la souscription patriotique d’obligations. Elaborer pour chaque ville, un schéma d’urbanisme et d’aménagement urbain de long terme. Nommer des fonctionnaires qualifiés et expérimentés aux postes d’administrateurs délégués des entreprises publiques et sociétés d’Etat, pour respecter le profil/poste et éviter le cumul de fonction des militaires. Réduire de 30 % la facture d’électricité et d’eau aux fonctionnaires à la retraite sur présentation des documents probants. Instaurer un système d’indicateurs de performance pour chaque poste ministériel, y compris le 1ER Ministre et les Directeurs des administrations et des entreprises publiques et mettre en place un contrat de performance assortie de sanctions positives ou négatives, avec une commission indépendante de vérification auprès de la Présidence.
Il faut que la formation continue des agents nigériens de nos sociétés pétrolières puisse couvrir l’aspect simulation des unités, la synthèse des composés et la maitrise approfondie du processus. Sinon la simple maitrise superficielle du terrain bien qu’indispensable reste insuffisante face à un éventuel problème dans le cas où ces sociétés seront totalement ‘’nigerienisées’’.
Il est vrai que nos agents nigériens sont capables de décrire de À à Z le processus ( prélèvement de pression, température, …etc. ) mais qu’en est-il de leurs compétences à proposer une solution idoine et rapide à un problème de disfonctionnement d’un simple séparateur triphasé ?
Sont-ils capable de faire un design complet des units pétrolières ? Parlons de la vérité!
Il faut nécessairement orienter la formation dans ce sens. Des formations se passent bien sûr mais généralement se portent sur les questions de ‘’ gestion administrative ou d’autres trop superficielles’’.
Il faut que le Niger exprime ses besoins clairement et les imposent à l’autre partie. Puisque qu’ils savent très bien aussi longtemps que nous ne maîtrisons pas ces questions techniques nous ne pouvons jamais les remplacer. Notre incompétence serait une justification de leur présence éternelle!
Le domaine du pétrole au Niger se trouve face à deux majeurs problèmes: l’ingérence excessive de la politique PAC et de l’incompétence exponentielle de certains personnels placés à la place qu’ils ne méritent pas.